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Zoom sur une équipe...


De gauche à droite : Martine Cherbonnel, Rachel Busson, Chantal Allée, Isabelle Pierre, Béatrice Grasland, François-Xavier Briand, Eric Niqueux, Audrey Schmitz, Katell Ogor (derrière), Carole Guillemoto (devant), Pascale Massin. Absents de la photo : Marion Flodrops, Cécile Guillou-Cloarec, Claire Martenot, Florent Souchaud.

Equipe « Influenza aviaire et maladie de Newcastle » de l’unité VIPAC, Anses Ploufragan-Plouzané-Niort.


L’équipe « Influenza aviaire et maladie de Newcastle » fait partie de l’une de cinq équipes de l’unité Virologie, Immunologie, Parasitologie Aviaires et Cunicoles de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) Laboratoire de Ploufragan-Plouzané-Niort.

L’équipe comprend le Laboratoire National de Référence (LNR) pour l’influenza aviaire (IA) et la maladie de Newcastle et est composée de 14 personnes. Béatrice GRASLAND (responsable de l’équipe), Eric NIQUEUX (responsable LNR), Audrey SCHMITZ (adjointe LNR), 4 chargés de projets : Pascale MASSIN, Claire MARTENOT, François-Xavier BRIAND, Martine CHERBONNEL-PANSART, 6 techniciens : Chantal ALLEE, Rachel BUSSON, Carole GUILLEMOTO, Katell OGOR, Isabelle PIERRE, Florent SOUCHAUD et une post-doctorante Marion FLODROPS.

Les orientations scientifiques de l’équipe se regroupent actuellement en plusieurs axes:

- Contribuer à des études de surveillance permettant la description de la diversité et de l’évolution des différentes souches de virus influenza aviaire en déterminant les génomes complets dans le but d’étudier par la suite les relations phénotypes/génotypes

- Améliorer les techniques de diagnostic des virus d’influenza aviaire notamment par la validation de techniques de diagnostic rapides en élevage

- Comprendre la dynamique et des mécanismes de transmission de l’influenza aviaire au sein des populations de volailles domestiques en France

- Identifier des déterminants de pathogénicité et transmissibilité des virus influenza aviaire H5 hautement pathogènes issus des épizooties françaises de 2015-2016 et 2016-2017 mais également de virus faiblement pathogènes pour la volaille tel que le virus H3N1 responsable de cas en France en 2019.

Les recherches de notre équipe sont actuellement financées par l'UE (Horizon H2020 « Vivaldi »), le Fonds FRIA 2019 (Projet « PREDYT »), le réseau d’instituts vétérinaires CoVetLab et la Direction Générale de l’alimentation.


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